2019 a été la deuxième année la plus chaude dans le monde, concluant une décennie record, selon le service européen Copernicus qui décrit des signes «inquiétants» alors que l’Australie brûle et que les événements météo extrêmes se multiplient
Selon l’ONU, pour que l’espoir de limiter le réchauffement à +1,5°C ne s’envole pas, il faudrait réduire les émissions de CO2 de 7,6% par an, dès 2020 et chaque année jusqu’à 2030, ce qui nécessiterait une transformation inédite de l’économie mondiale. Mais à l’inverse, les émissions continuent à croître.